En cette fin d’été 2025, notre scénario de base n’est même plus une théorie ! Les fissures sont visibles et s’étendent. Le bruit de l’effondrement devient chaque jour plus fort.
La machine de propagande n’arrive même plus à le dissimuler.
L’économie est en chute libre. L’inflation dépasse largement les salaires. La croissance économique n’est pas seulement au point mort, elle est désormais en contraction. La vérité est simple… ce système ne peut pas se maintenir.
La réaction en chaîne de l’inflation est directement provoquée par la faiblesse du dollar, la suppression artificielle des taux et l’expansion massive de la dette. Et cela ne va pas s’arrêter ! Pourquoi ?
Parce que ce mécanisme est maintenant LA POLITIQUE ECONOMIQUE DES ETATS-UNIS.
L’inflation est plus qu’une hausse des prix… c’est un vol pernicieux de la vie elle-même, et voici comment fonctionne le mécanisme. La classe moyenne se dissout. Ce qui était autrefois l’épine dorsale de la société s’affaiblit jusqu’à disparaître. Les dépenses discrétionnaires s’évanouissent, remplacées par le mode de survie.
C’est le piège… parce qu’une inflation plus élevée entraîne une hausse des coûts d’emprunt, et des coûts d’emprunt plus élevés étouffent les investissements des entreprises. Le ralentissement rapide de l’économie actuel, combiné à la hausse des prix, enferme les ciroyens dans un scénario de boucle infernale multiple.
Et rappelons les “solutions” de Babylone : des baisses de taux, un affaiblissement supplémentaire du dollar, une inflation considérable de la dette et, désormais, l’assimilation des grandes entreprises au “gouvernement”.
Alors, où tout cela nous mène-t-il ? Qui survit et qui tombe.
La classe moyenne et les petites entreprises.
L’effondrement de la classe moyenne n’est pas un effet secondaire… c’est le plan. La consolidation par la destruction.
Les méga-entreprises. Elles survivent et se développent en fusionnant avec l’Etat. Subventions, renflouements, prises de participation. L’Etat protège les géants qu’il a choisis et s’enoure d’oligarques qui se goinfrent sur la destruction des petites entreprises.
Les citoyens ordinaires son piégés entre la hausse des prix et la stagnation/baisse des salaires en termes réels. Contraints de dépendre du crédit et des miettes du gouvernement.
C’est une consolidation accrue du pouvoir…
C’est la trajectoire ultime… La richesse et le contrôle se concentrent au sommet. L’Etat et les entreprises fusionnent en une seule machine. Les politiques sont élaborées pour protéger les plus grands acteurs, tandis que les citoyens se retrouvent avec moins de liberté, moins de choix et aucune souveraineté économique. Ce n’est pas du capitalisme. Ce n’est pas le libre marché. C’est du corporatisme… la fusion du pouvoir de l’Etat et des entreprises en une seule et même bête. Exactement comme nous l’avons écrit dans le numéro de LIESI du 31 août.
Que faut-il faire ?
Encore une fois, détenez des actifs réels. Métaux précieux, matières premières et terres productives. Une richesse qui ne peut être imprimée ou dévaluée à volonté. Continuez à construire des réseaux. Chaque échange en dehors du système de Babylone est une forme de résistance.
Réduisez votre dépendance à leur système. Chaque chaîne que vous brisez… dette, fausses nouvelles, dépendance aux entreprises, vous rend plus fort.
Préservez votre lucidité/élevez votre conscience, rapprochez-vous du Bon Dieu et récitez le chapelet. Ne vous laissez pas berner par la propagande.
Ici, nous parlons du scénario de base. Ce n’est pas le pire scénario, le scénario catastrophe. Le scénario de base : l’inflation augmente, la croissance s’effondre et la classe moyenne se dissout.
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SOMMAIRE DE LA LETTRE LISO
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