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L’organisation des famines en Europe : une sorte de version covid pour les vaches

Tandis que les financiers marxistes, déguisés en patriotes aux Etats-Unis, créent les conditions de la future faillite des Etats-Unis, les marionnettes de l’Etat profond français s’activent à organiser les futures famines en France et ailleurs, en détruisant le monde agricole. Cela se poursuit depuis des décennies, mais on perçoit combien cela s’accélère au moment où ils veulent cacher la faillite de l’Etat.

D’un côté, les agriculteurs sont massacrés avec les éleveurs ; de l’autre, les dirigeants de petites entreprises sont aussi massacrés par des charges démentielles. Par contre, interdiction de toucher à toutes ces commissions qui ne servent à rien, sinon à engraisser les troupes apostates de l’Etat profond. La seule certitude positive : tous ces gens vont eux aussi plonger dans la misère quand l’Etat ne pourra plus rien gérer et que ses représentants devront se cacher ou s’enfuir pour sauver leur peau.

Triste situation dont profitent encore ceux qui ne croient pas à une justice divine.

 

En attendant, voici une réflexion sur la famine en Irlande de 1845-1852. Vous méditerez bien sur cette histoire et en ferez les déductions pour les prochaines années.

La Grande Famine irlandaise (1845-1852), souvent présentée comme une catastrophe naturelle due à de mauvaises récoltes, résulte en réalité largement de choix politiques et économiques. Malgré la famine, l’Irlande exportait massivement des denrées alimentaires (bétail, beurre, œufs) vers l’Angleterre, en quantités suffisantes pour nourrir la population. Les terres appartenaient à des propriétaires anglais absents ; les paysans irlandais payaient leur loyer en produits agricoles et ne conservaient que des pommes de terre pour se nourrir.

Lorsque la pomme de terre a disparu, les paysans se sont retrouvés sans ressources, tandis que les exportations continuaient, protégées par l’armée. Le gouvernement britannique refusa d’intervenir au nom du libre-marché et parce que la classe dirigeante considérait la famine comme un moyen de contrôle démographique. Des responsables, comme Charles Trevelyan, voyaient la famine comme une “leçon” providentielle et s’opposaient à une aide efficace.

Les politiques foncières coloniales avaient auparavant forcé les Irlandais catholiques vers des terres marginales, les empêchant de pratiquer l’élevage pourtant traditionnel. La famine apparaît ainsi non comme une fatalité naturelle, mais comme le résultat d’un système colonial, de l’idéologie du marché et d’une indifférence assumée à la souffrance humaine.
(Résumé de : https://x.com/SamaHoole/status/1999527240145485949)

 

Pourquoi cette haine des Irlandais ? Parce qu’ils étaient catholiques.

Qui veut la mort des agriculteurs français ? Qui poursuit un agenda de destruction, permanent de l’agriculture notamment en France ?

Pourquoi nos politiciens se font-ils les ennemis singuliers de l’agriculture française ?

 

F. Ros a écrit un article critiquant fortement le développement et l’utilisation des vaccins à ARNm en médecine vétérinaire, présentés comme une extension directe des technologies déployées lors de la pandémie de Covid-19. Il rappelle que des vaccins à ARNm ont déjà été testés chez les animaux (porcs, bovins) contre diverses maladies virales, parfois avec une transmission des anticorps par le lait, et souligne les risques potentiels liés à l’instabilité de l’ARN et aux réactions inflammatoires.

Il dénonce une généralisation de ces plateformes vaccinales dans l’élevage, qu’il associe à des agendas économiques et géopolitiques (Mercosur), à une perte de souveraineté alimentaire et à des pratiques coercitives, comme l’abattage de troupeaux non vaccinés. Il met en cause le rôle d’acteurs institutionnels américains et d’Anthony Fauci dans ces recherches.

Il critique également les vaccins dits “mosaïques”, censés offrir une protection large contre plusieurs variants viraux, en rappelant l’échec d’essais humains contre le VIH pourtant soutenus par de grandes institutions de santé.
Enfin, il élargit la dénonciation à des projets jugés excessifs, comme le développement d’un vaccin visant à réduire les émissions de méthane des bovins pour lutter contre le changement climatique, financé notamment par des fonds liés à Bill Gates. Selon lui, les effets secondaires chez les animaux seraient minimisés, reproduisant les dérives observées lors de la vaccination Covid-19, et traduisant une logique politique et industrielle de sacrifice, cette fois appliquée au monde agricole.

 

 

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