Les derniers chiffres du Bureau of Labor Statistics, publiés avec retard après la fermeture du gouvernement, révèlent une réalité troublante : malgré 119 000 créations d’emplois en septembre, le chômage est monté à 4,4 %, et surtout, 25 % des chômeurs américains possèdent désormais un diplôme universitaire. Un record historique qui remet en cause l’idée selon laquelle quatre années d’études et des dizaines de milliers de dollars d’investissement garantissent un emploi stable.
Le taux de chômage des diplômés de licence a grimpé à 2,8 %, soit près de 1,9 million d’adultes instruits sans emploi, un niveau jamais atteint. Le marché du travail des cols blancs, autrefois refuge de la jeunesse diplômée, se contracte fortement : les emplois de bureau et de services professionnels reculent depuis le début de l’année, tandis que la croissance de l’emploi se concentre dans la santé, l’action sociale et l’hôtellerie – des secteurs peu rémunérés.
En cause, selon de nombreux analystes : l’intégration accélérée de l’intelligence artificielle, désormais capable d’automatiser la majorité des tâches de début de carrière — synthèse de documents, saisie de données, études de marché, service client. Les entreprises y voient un substitut rentable à des équipes de juniors, entraînant une chute brutale de l’embauche dans les échelons d’entrée.
Tout cela est voulu ! Ils doivent préparer le nettoyage… et notamment FAMINES ET EPIDEMIES pour réaliser la Grande Réinitialisation avec beaucoup moins d’humains, parce que LEUR société de demain arrive au galop.
Les jeunes sont les plus durement touchés : le chômage des 20-24 ans atteint 9,2 %, un niveau typique de récession, et frappe une génération déjà écrasée par la dette étudiante. Beaucoup parlent de trahison : ils ont respecté les règles, mais entrent dans un monde où le premier emploi se dissout et où le diplôme devient une facture sans garantie d’avenir.
Faute de débouchés, certains diplômés se tournent vers les petits boulots, les plateformes de livraison ou les métiers manuels, d’autres retournent vivre chez leurs parents. L’ensemble dessine un paysage économique en mutation profonde, où le bureau devient la nouvelle zone de turbulence technologique.
Si l’IA supprime des postes, elle ne remplace pas encore la créativité, la pensée critique ou la capacité d’entreprendre. Reste à savoir comment une génération frustrée et bloquée au pied de l’échelle réagira à cette transition chaotique — et comment une économie construite sur la promesse du diplôme absorbera ce choc. Faites confiance aux agents des milliardaires crypto communistes de la gauche démocrate. Ils travaillent à l’avenir : lisez les numéros de LIESI.
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