Le président Trump vient de déclarer : “L’espace aérien au-dessus et autour du Venezuela doit être considéré comme entièrement fermé.”
C’est bien un signe supplémentaire que le système est en train de s’effondrer pour l’Occident. Les signes se multiplient partout. Cette situation financière à la Frankenstein, un zombie recousu sans cesse par la Réserve fédérale pour favoriser exclusivement le transfert de richesses à destination des plus riches. C’est la traduction d’une politique de la terre brûlée !
Que deviendront les Etats-Unis dans six mois ? L’effondrement est de plus en plus exponentiel… regardez ce qui se passe du côté des métaux précieux et notamment de l’argent métal. Voyez les manœuvres qu’ils sont obligés de réaliser pour gagner du temps, comme ce que nous venons de développer à propos du CME dans un dernier article publié sur Gladio VERITATIS – que vous pouvez acquérir dans la rubrique des articles payants. Le plus regrettable est que très peu de gens réagissent où même évoquent ce qui se passe dans le monde réel.
A l’heure actuelle, la position dans laquelle se sont placées la Réserve fédérale et le Trésor US font qu’ils détiennent toutes les cartes pour tenter de protéger au maximum les marchés financiers qui sont la vitrine de la communication économique de la Maison-Blanche. Dans le même temps, la consolidation du système est déjà en cours. Les lois, les réglementations, tout pour le nouveau système est quasiment en place avec le système de jetons stablecoins. Ils ont juste besoin qu’un événement se produise.
Même en cette fin d’année, les autorités officielles qui ne sont que des perroquets pour un pouvoir qui veut surtout rester caché, reconnaissent que la confiance des consommateurs s’effondre. Ils l’admettent publiquement. C’est partout dans les médias grand public. L’inflation, les droits de douane, le dysfonctionnement politique, exprime ce qui se passe. Le revenu réel de chaque contribuable est en train d’être dévoré par l’inflation. Pas seulement le revenu du contribuable mais aussi leur avenir, leurs espoirs, leurs rêves qu’ils pouvaient faire pour leurs enfants. La croissance des revenus a maintenant ralenti pour atteindre son niveau le plus bas depuis près de 10 ans pour l’ensemble de l’année 2025. Pendant ce temps, les actions boursières sont en passe d’enregistrer des gains à deux chiffres. Comme nous l’avons écrit dans un article publié sur Gladio VERITATIS : la tenue des marchés financiers de Wall Street est devenue une question de sécurité nationale.
Pour la classe moyenne, le coût de la vie, le loyer, la nourriture, l’énergie, les assurances, etc., ne cessent d’augmenter. C’est le triste état du moment, mais ce n’est pas une surprise, et les pertes économiques sont socialisées. Socialisée pour maintenir l’illusion d’une économie forte et d’un système qui fonctionne. Ils socialisent les pertes par l’inflation et la politique. La politique crée l’inflation et provoque l’effondrement de la valeur des monnaies fiduciaires.
Dans le même temps, les faillites bancaires accélèrent, on assiste à un éclatement de certaines bulles spéculatives. Le scénario est toujours le même : il s’agit d’une version ou d’une combinaison de trois éléments. Premièrement : baisser les taux ajoute une fausse liquidité qui ne provient pas de la production, mais qui consiste simplement à ajouter des chiffres sur un écran. Une recette pour un désastre total est assurée. Deuxièmement : soutenir les banques et les institutions de financement. Nous voyons cela se produire encore et encore. Troisièmement : accumuler davantage de dettes et de déficits. Envoyer des liquidités ou plutôt les imprimer pour soutenir l’économie comme si cela allait régler le problème. En tout cas, les trois dynamiques que nous venons d’évoquer sont censées stabiliser les prix des actifs, des actions, des obligations et de l’immobilier pendant un certain temps.
Comment se fait-il que l’on ne mette en avant que le secrétaire au Trésor américain qui est un agent protégé de George Soros depuis des lustres ? Quand on voit ce que Soros est en train de faire au sein du parti démocrate, autrement dit de pousser les caciques du marxisme et de la révolution rouge au plus haut sommet de ce parti, qu’en dire ? La financiarisation artificielle, cet effet de richesse à la Frankenstein, soutient les dépenses. Dans le monde réel, les consommateurs sont contraints de dépenser davantage alors que le pouvoir d’achat réel s’effondre. Les gros titres diront que les dépenses de consommation sont plus élevées et les politiciens des médias grands publics vous diront que cela signifie que l’économie est forte. Mais en réalité, les dépenses forcées ne sont pas synonymes de prospérité. C’est un signe de décomposition de l’économie de la classe moyenne. Nous avons publié, il y a quelques semaines dans un numéro de la lettre confidentielle, des similitudes à voir constamment devant les yeux entre l’effondrement de l’Union soviétique et l’effondrement actuel de tout l’Occident. Dans le prochain numéro, nous donnerons encore plus d’acuité à cette démonstration.
En attendant, les gens dépensent plus pour avoir la même quantité de biens qu’auparavant. Bien plus qu’il y a 10 ans. Les politiciens ont détruit sciemment ou sur ordre, l’économie aux Etats-Unis et en Europe. Elle est en phase de mort, maintenue en vie dans un Etat zombié, avec des dettes qui ne cessent de croître et une hyperinflation des prix qui va aller crescendo.
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