Plusieurs de nos sources mettent en lumière des anomalies persistantes dans les données de positions ouvertes sur l’or au COMEX, la principale bourse américaine des métaux précieux. Depuis plusieurs mois, les révisions quotidiennes de ces données – normalement marginales dans un système de compensation électronique – atteignent des niveaux inhabituellement élevés, parfois jusqu’à 33 000 contrats, contre quelques centaines en temps normal.
Ces corrections anormales surviennent surtout le lundi, portant sur les transactions du vendredi précédent, et se sont aggravées après la fermeture partielle du gouvernement fédéral. Les révisions, censées refléter des ajustements mineurs liés à des erreurs de saisie ou à des “transactions hors cote”, semblent désormais indiquer une tension structurelle chez un ou plusieurs membres compensateurs du marché.
Ces irrégularités pourraient résulter soit d’une manipulation délibérée des données, soit d’une négligence grave, deux scénarios laissant entendre que le COMEX serait au courant sans intervenir. Un tel comportement soulève des risques systémiques : défaillance des contrôles internes, dissimulation de positions perdantes, fragilisation de la liquidité et, in fine, menace pour la formation des prix des matières premières en dollars.
Alors que la compensation électronique devrait théoriquement empêcher ce type d’écarts, la fréquence et l’ampleur des révisions interrogent la transparence et l’intégrité du système américain de fixation des prix de l’or.
Autrement dit, le monde occidental vit de plus en plus dans l’illusion entretenue par des mensonges de plus en plus grossiers. Les accidents bancaires et les problèmes informatiques tendent à se succéder d’une manière inquiétante. Est-ce que ce sont simplement des aléas sans lendemain, ou alors les signaux d’une catastrophe majeure pouvant entraîner une ruine soudaine des épargnants ? De toutes les façons, LIESI a toujours conseillé depuis sa création, il y a un quart de siècle, qu’il était nécessaire de prendre la mesure d’un Occident qui s’effondrerait avec toute son infrastructure financière. Nous avons toujours précisé que ce temps viendrait lorsque la Russie deviendrait une menace pour l’Europe occidentale. Il faut donc être un aveugle pour ne pas comprendre ce qui se met en marche. Pour comprendre, il est utile de reprendre les cours d’histoire et étudier ce qui s’est produit juste avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Il y a en effet des coïncidences frappantes qui doivent susciter au moins un intérêt primaire…
Comme nous l’avons écrit, nous vivons dans un monde où l’illusion est essentiellement entretenue par l’émission de la dette sur la dette. Il devient de plus en plus difficile aux Etats de rembourser les seuls intérêts de cette dette et le contribuable est carrément ciblé pour être ponctionné outrancièrement : tant par les autorités politiques que par les banques centrales. En effet, celles-ci engagent des politiques monétaires absolument insensées et débilitantes qui se retournent contre les consommateurs et donc contre la croissance nationale. Et sans croissance, comment peut-on payer les intérêts des dettes accumulées par des gouvernements fantoches au service de la Synagogue de Satan ?
Enfin, il va de soi que les achats sur les métaux précieux sont de plus en plus importants et ils se font en toute discrétion, bien souvent en dehors des places de cotation traditionnelles. Comme nous le verrons dans les prochaines séries LISO, la Russie et la Chine sont en train de préparer quelque chose d’absolument gigantesque au même moment où les Européens et les Américains ne se font plus confiance et que la ruine est sous les yeux de beaucoup qui refusent de voir, préférant se faire dorloter par les mensonges et les faux espoirs de partis politiques vendus depuis des décennies… toujours entretenir l’illusion humaine au lieu de se mettre à genoux et de supplier le Ciel.
Rappelons-nous ce que disait sœur Lucie au père Fuentès : « La Très Sainte Vierge, en ces derniers temps que nous vivons, a donné une efficacité nouvelle à la récitation du Rosaire. De telle façon qu’il n’y a aucun problème, si difficile soit-il, temporel ou surtout spirituel, se référant à la vie personnelle de chacun de nous, de nos familles, des familles du monde ou des communautés religieuses, ou bien à la vie des peuples et des nations. Il n’y a aucun problème, dis-je, si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du saint Rosaire. »
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